«Je crois que le génie particulier des femmes tient à l’électricité de leurs mouvements, à l’intuition de leur rôle et à la spiritualité de leur tendance».
Difficile de trouver meilleure introduction pour présenter le génial travail de création de bijoux de l’incomparable Catherine Michiels que cette sensible et pertinente réflexion de la célébrissime journaliste américaine Margaret Fuller.
Il faut dire que la production de Catherine Michiels est indissociable d’un amour absolu de la singularité féminine. Chacune de ses créations, et ce depuis 1973, subjugue, envoûte, voire hypnotise délicieusement.
Il faut dire encore que cette artiste belge, rare et atypique, après avoir appris la science de la bijouterie et étudié la gemmologie et la classification des diamants (ce qui lui donne l’occasion de travailler indifféremment l’or, l’argent, les pierres précieuses…), n’a eu de cesse de puiser son inspiration dans d’incessants voyages aux quatre coins des plus hallucinés lieux de la planète. Les experts les plus exigeants disent de Catherine Michiels qu’elle transcende littéralement et l’univers de la joaillerie et l’essence même de l’art.
Dès lors, vous ne serez évidemment pas étonnés que c’est L’Adresse, la boutique clermontoise de l’absolue élégance, qui invite en ce mois de juin la fabuleuse artiste du bel apparat.
Vous retrouverez notamment une sélection de bracelets proprement magnifiques qui, par leur finesse et par leur puissance évocatoire ont séduit entre autres des Vanessa paradis et des Johnny Depp.
Bref, vous l’aurez compris, le travail précieux et cependant fondamentalement artisanal de Catherine Michiels est au-delà des modes et des tendances. Il s’impose comme une simple nécessité à adhérer à la transcendante beauté qui n’est jamais, et c’est tant mieux, aussi éclatante que dans les yeux de celui qui la regarde…
CharlyM
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