L’histoire est souvent ingrate. Qui, en effet, se souvient que 1908 fut aussi l’année où la première voiture à conduite à gauche, le modèle T, sort des usines Ford, ou même, que ce pauvre Louis Philippe succédant à son père monte sur le trône du Portugal, se blesse et décède vingt minutes plus tard, faisant de lui le détenteur mondial du règne le plus court ! Plus personne, évidemment.
1908 restera dans la mémoire collective comme l’année où Herbert Johnston, ingénieur de formation, après avoir observé un boulanger pétrir laborieusement sa pâte, conçoit puis crée le premier robot ménager. Immédiatement salué pour son avant-gardisme, son efficacité et son incroyable robustesse, ce robot va être commercialisé pour les particuliers dès 1914 sous l’appellation KITCHENAID. Depuis, la réputation et le succès de la marque ne se sont jamais démentis. Fidèles à l’attachement de Johnston pour un cahier des charges non négociable, à savoir, l’innovation technologique permanente, la plus grande exigence en matière de solidité des composants(encore de nos jours, une grande partie de la réalisation est réalisée à la main) et une attention toute particulière pour le design, les générations de concepteurs qui se sont succédés chez KITCHENAID ont toujours concouru à distinguer ses différents modèles de robots comme la référence indiscutable du concept «d’outils de préparation culinaire». A ce stade de perfectionnement, on peut presque parler d’orfèvrerie mais en plus, l’objet est beau et se décline en une palette de couleurs la plus étendue qui soit dans le domaine de l’électro-ménager.
Sincèrement Ford et Louis Philippe ne pouvaient pas lutter ! D’autant qu’en matière d’histoire, il faut savoir être patient, comme l’auront été les clermontois qui ont dû attendre cet automne 2010 pour voir enfin la marque KITCHENAID diffusée et ce, grâce à l’excellente et experte boutique Guzzini qui en a l’exclusivité et qui vous propose une sélection de modèles tout bonnement irrésistibles. A l’occasion du lancement, promotions et facilités de règlement. On n’est pas loin du bonheur…