«Il y a une statue de la liberté à l’entrée du Port de New York qui mesure 64 mètres de hauteur. Dès qu’il l’aperçut à l’horizon, Christophe Colomb sut qu’il allait découvrir l’Amérique.»

Assurément, comme aime à le rappeler Léo Campion, le Grand Explorateur était un fin observateur. Pour le commun des mortels, ce qui saute immédiatement aux yeux et qui ne laisse aucun doute quant à votre présence certaine à New York, c’est manifestement la folle diversité vestimentaire qui règne. Pourtant, parmi cette foisonnante foultitude de  looks hétéroclites s’imposent quelques références absolues qui ne laissent aucun doute quant aux créateurs d’origine. La ligne Diane de Furstenberg fait partie de ce très petit et ultra sélect club des couturiers qui font la tendance. Chaque collection provoque irrémédiablement une folle agitation sur la planète fashion et aucun people digne de ce nom ne saurait manquer l’incontournable défilé de la créatrice surdouée. Quelles que soient les propositions de Diane de Furstenberg, on y retrouve systématiquement les belles obsessions qui la caractérisent et qui se résument en 3 mots : féminité, sensualité, sophistication.

On ne s’étonnera donc pas que cette ligne de prêt à porter hors du commun soit présentée dès ce mois d’avril par la non moins hors du commun boutique L’Adresse.

Si vous souhaitez ébranler le socle de vos certitudes sur l’élégance, précipitez-vous. La collection printemps-été est à tomber à la renverse. Le choix des matériaux est subtil et les motifs carrément d’irrésistibles invitations au voyage. Retenons pour l’exemple les imprimés des subjuguantes fleurs nippones inspirées des kimonos caractéristiques d’une Asie divinement revisitée pour l’occasion par Diane de Furstenberg.

La mythique créatrice de la robe portefeuille n’a une fois de plus pas lésiné sur son savoir et sa sensibilité pour magnifier la beauté féminine et enchanter durablement la belle saison à venir.

Par contre, si vous croisiez Christophe Colomb, qui, face à L’Adresse, en déduirait qu’il se trouve forcément sur un boulevard parisien, par pitié, ne le contrariez pas, il reste paraît-il affreusement susceptible depuis l’histoire des Indes…

CharlyM

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